Voir le nombril de la femme d'un flic. N'est certainement pas un spectacle. Qui, du point de vue de l'esthétique. Puisse vous élever au pinacle. Il y eut pourtant, dans le vieux Paris.
Du temps que régnait le Grand Pan,. Les dieux protégaient les ivrognes. Des tas de génies titubants. Au nez rouge, à la rouge trogne.. Dès qu'un homme vidait les cruchons,.
Elle avait la taill' faite au tour. Les hanches pleines, Et chassait l' mâle aux alentours. De la Mad'leine. A sa façon d' me dir' : Mon rat. Est-ce que j' te tente?.
C'est à travers de larges grilles,. Que les femelles du canton,. Contemplaient un puissant gorille,. Sans souci du qu'en-dira-t-on.. Avec impudeur, ces commères.
Dieu sait que je n'ai pas le fond méchant. Je ne souhait' jamais la mort des gens. Mais si l'on ne mourait plus. Je crèverais de faim sur mon talus. .
Comme elle n'aime pas beaucoup la solitude. Cependant que je pêche et que je m'ennoblis. Ma femme sacrifie à sa vieille habitude. De faire, à tout venant, les honneurs de mon lit.
J'ai perdu mes bajou's, j'ai perdu ma bedaine,. Et, ce, d'une façon si nette, si soudaine,. Qu'on me suppose un mal qui ne pardonne pas,. Qui se rit d'Esculape et le laisse baba..
Dans leurs fraises leurs collerettes. Liserons et pâquerettes,. J'aim' le myrtes et le muguet,. Les lias et la primevère,. Mais la couleur que je préfère.
La belle qui couchait avec le roi de Prusse. Avec le roi de Prusse. A qui l'on a tondu le crâne rasibus. Le crâne rasibus. . Son penchant prononcé pour les " ich liebe dich ",.
Dans un coin pourri. Du pauvre Paris,. Sur un' place,. L'est un vieux bistrot. Tenu pas un gros. Dégueulasse.. . Si t'as le bec fin,. S'il te faut du vin.
J'ai pris la route de Dijon. Pour voir un peu la Marjolaine. La belle, digue digue don. Qui pleurait près de la fontaine. Mais elle avait changé de ton.
Du temps que je vivais dans le troisième dessous. Ivrogne, immonde, infâme. Un plus soûlaud que moi, contre une pièce de cent sous. M'avait vendu sa femme.
Voici la ronde des jurons. Qui chantaient clair, qui dansaient rond. Quand les Gaulois. De bon aloi. Du franc-parler suivaient la loi. Jurant par-là. Jurant par-ci.
Au village, sans prétention. J'ai mauvaise réputation. Qu'je m'démène ou qu'je reste coi. Je passe pour un je-ne-sais-quoi. Je ne fait pourtant de tort à personne.
On les r'trouve en raccourci dans nos p'tits amours d'un jour. Toutes les joies, tous les soucis des amours qui durent toujours. C'est là l'sort de la marine et de toutes nos p'tites chéries.
Quand l'jour de gloire est arrivé. Comm' tous les autr's étaient crevés. Moi seul connus le déshonneur. De n'pas êtr' mort au champ d'honneur. . Je suis d'la mauvaise herbe.
En notre tour de Babel. Laquelle est la plus belle. La plus aimable parmi. Les femmes de nos amis?. Laquelle est notre vrai nounou. La p'tite sur des pauvres de nous.
Du temps que je vivais dans le troisième dessous. Ivrogne, immonde, infâme. Un plus soûlaud que moi, contre une pièce de cent sous. M'avait vendu sa femme.
Bien que ces vaches de bourgeois. Bien que ces vaches de bourgeois. Les appellent des filles de joie. Les appellent des filles de joie. C'est pas tous les jours qu'elles rigolent.
Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps. Le beau temps me dégoute et m'fait grincer les dents. Le bel azur me met en rage. Car le plus grand amour qui m'fut donné sur terr'.