(Franck Langolff/Francis Basset). C'est encore un de ces soirs. O j'ai mon coeur d'automne. O je viens chercher ton amiti d'homme. Combien de fois j'ai pouss ta porte.
(Franck Langolff/Francis Basset). C'est encore un de ces soirs. O j'ai mon coeur d'automne. O je viens chercher ton amiti d'homme. Combien de fois j'ai pouss ta porte.
Barbelivien/Bernheim. Entrer dans la lumire. Comme un insecte fou. Respirer la poussire. Vous venir genoux. Redcouvrir ma voix. En tre encore capable.
Barbelivien/Bernheim. Entrer dans la lumire. Comme un insecte fou. Respirer la poussire. Vous venir genoux. Redcouvrir ma voix. En tre encore capable.
D. Barbelivien. Elle voulait jouer cabaret. Sur un paque bot de contrebande. Pas dans un bastringue marseillais. Avec des marins qui lui demandent. Une chambre d'htel sur la mer.
(duo avec James Taylor). (James Taylor). Do me wrong, do me right. Tell me lies but hold me tight. Save your goodbyes for the morning light. But don't let me be lonely tonight.
B. Barbelivien/F. Bernheim. Maestro. Please. Des Mensonges En Musique. Vous qui vendez des mots. Des mensonges en musique. Montrez-moi la photo. D'un amour hroique.
(Shelly Peiken/Jeffrey Cj Vanston/Tim Pierce/Jean Fauque). Derniers instants, restez encore. N'abandonnez pas cet enfant qui dort. Ne laissez pas les assoifs de sang.
(Lyle Lovett-Philippe Bergman/Lyle lovlett). c'est une chanson simple que je te donne. Aussi facile qu'elle est tendre. Tu sais ce sont parfois les mots trs simples.
D. Barbelivien/F. Bernheim. Avec le coeur mare basse. Avec un talon qui se casse. Avec des gestes maladroits. Et des sentiments bien moi. Avec des plages en promenade.
Barbelivien/Bernheim. Quand t'as laiss de ta jeunesse. Derrire les barreaux d'une prison. Parce que t'avais eu d'la tendresse. Pour une bagnole ou un blouson.
Grosz/Langolff. Et si...et si...Bessie. Elle avait pas eu la peau noire. Comme les tangs, comme les mares. O les lions l-bas vont boire.. Et si...et si...Bessie.
Fernheim/Barbelivien. . A l'enterrement d'Sidney Bechet. Y'avait des fltes des clarinettes. So long Big Man. A l'enterrement d'Sidney Bechet. Y'avait des putes et des potes.
I said, "Shotgun, shoot 'em for he runs now". Do the jerk, baby. Do the jerk, now. Hey. . Put on your red dress. And then you go Downtown. I said buy yourself a shotgun now.
Put on your wig, woman. We goin' out to shake and fingerpop, hey baby. I said, put on your wig, woman. We goin' out to shake and fingerpop, hey girl. We gonna get out on the floor now.
Needed the shelter of someone's arms. And there you were. Needed someone to understand my ups and downs. And there you were. With sweet love and devotion.
The day without the shining sun. Is a day without your loving baby. One look, one look and well seem as one. That's how easy we communicate. A single match can make a fire begin.
It was down by old Joe's barroom, on the corner of the square. They were serving drinks as usual, and the usual crowd was there. On my left stood Big Joe McKennedy, and his eyes were bloodshot red.
There is a bottle that I could be drowning in. If I didn't want to be alone. There is a bedroom that I could be lying in. And you, you would never know.