Tu es toute seule à pleurer. Là,. A pleurer que c'est à cause de toi,. Tout ça. Laisse moi, croire que tu parleras. Laisse moi tomber à tes pas. Je sais que tu ne veux en parler.
Là dans le matin immobile. Depuis des mois. Une vie devant,. Tes yeux défilent. Mais tu n'en bougeras pas. Dans un uniforme,. Mécanique comme une poupée.